Comme un rêve lucide au milieu des sons des synthétiseurs, une texture sur laquelle on peut marcher, mais de laquelle on peut tomber. On est toujours rattrapé·es par la voix d’Armelle qui creuse un trou (de 8cm) dans le réel. Je ne suis plus la même personne après les avoir vu·es. En bien ou en mal, qui peut juger ?